Dans son numéro d’août 2012, le magazine britannique Sound On Sound a sorti sur 4 pages un banc d’essai détaillé de Capstan, notre logiciel de restauration professionnel. Pour eux, « c’est un outil très impressionnant et qui mérite d'être exploré ! ».

Après une explication complète du phénomène de pleurage et scintillement et de ses bases technologiques, l’auteur Hugh Robjohns teste Capstan avec quelques exemples concrets : « J’ai été vraiment très satisfait de l’amélioration apportée par Capstan à mon enregistrement d’une œuvre pour piano de Chopin. »

Hugh affirme que le prix soi-disant élevé de Capstan est « pleinement justifié par sa complexité, son ingéniosité et sa redoutable efficacité, surtout en rapport de la taille du marché relativement spécialisé de la restauration audio. » Il souligne également l’alternative offerte par l’option location, dont il dit que c’est « une solution très attrayante, … abordable et pratique pour des projets ponctuels. »

En résumé, le magazine précise que Capstan « fonctionne étonnamment bien, est facile à utiliser et à ajuster, et bénéficie d’une interface utilisateur très bien conçue... Mieux que tout, le processus se fait totalement sans artefacts : aucun parasite ni chuintement, jamais ! »

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Quand The Concert Sinatra a été enregistré en février 1963, les magnétophones multipistes ne peuplaient pas encore les studios d’enregistrement. Afin de profiter de l’avantage offert par le mixage de plusieurs canaux audio, The Concert Sinatra a été enregistré dans un studio de cinéma à l’aide de plusieurs enregistreurs synchronisés employant des pellicules de 35 mm à piste magnétique. Cet enregistrement master n’a été utilisé dans aucune des rééditions de The Concert Sinatra depuis le mixage d’origine fait il y a près de 50 ans.

Les boîtes de bobine d’origine ont été stockées près d’un demi-siècle. Malgré la dégradation considérable au fil du temps, une équipe d’experts en ingénierie, dirigée par Frank Sinatra, Jr., a utilisé les technologies d’enregistrement numérique contemporaines pour offrir un tout nouveau mixage à la réédition de 2012.

L’ingénieur de mastering Larry Walsh a utilisé Capstan pour synchroniser les multipistes en faisant correspondre leurs hauteurs de diapason et les a débarrassées du pleurage et du scintillement. À cette époque, Capstan n'était pas encore prêt pour travailler en multipiste (il l’est maintenant), donc Mathis Nitschke, spécialiste de Capstan, a aidé Larry Walsh au téléphone pour trouver un mode de travail personnalisé utilisant des fonctionnalités non décrites. « J’ai apprécié votre apport au cours de ce projet. Vous vous êtes mis en quatre pour nous appeler à une heure tardive chez vous », déclare Larry Walsh, « Capstan nous a aidés. »

www.sinatra.com
Critique de l'album sur allaboutjazz.com

« La série Archeophone Archives emploie beaucoup Capstan dans ses rééditions d’Edison Blue Amberols. Ce format de cylindre souffre de problèmes de décentrage, d’ovalisation, et de distorsion de surface pour la correction desquels nous comptons sur Capstan. Ces cylindres n’ont jamais sonné mieux. Nos résultats montrent que Capstan fonctionne sur les anciens formats, non seulement en théorie mais aussi en pratique. »
---David Giovannoni, Producteur

www.archeophone.com

L'œuvre d’art totale de Richard Wagner appartient aux œuvres d’art les plus immersives de notre culture. C’est pourquoi toute tentative visant à donner à l’amateur d’art lyrique l’accès aux premiers enregistrements de ses œuvres doit être un plaisir musical plutôt qu’un transfert purement technique. Comme l'écrit le producteur de la restauration du Metropolitan Opera, Grace Row, dans ses notes de jaquette : « En récupérant ces diffusions historiques de Wagner, notre objectif était non pas simplement de préserver, mais de présenter les interprétations en direct du Met comme une expérience intéressante pour l’auditeur moderne. »

La tâche parfaite pour Charles Harbutt, à la tête de Long Tail Audio LLC et ingénieur de mastering du coffret de CD Wagner at The Met, publié par Sony Classical pour le bicentenaire de Wagner en 2013. « Nous essayons de tout faire passer par Capstan, car tout sonne beaucoup mieux ensuite : de façon plus fluide avec des aigus soyeux. Capstan est le chaînon manquant entre les contraintes technologiques du passé et la qualité du son numérique du 21e siècle. »

Pourquoi cela ? La première étape, la plus importante pour toute production de restauration, est l’acquisition des sources sonores. Dans le cas de la collection Wagner du Met, nous parlons d'émissions qui n’ont été que partiellement archivées par les stations de radio. Parmi les autres sources, il y a des éditions sur disques shellac provenant de collections privées, des copies de bandes de diverses bibliothèques et d’autres matériels. Non seulement Capstan de Celemony Software aplanit tous les problèmes de « pleurage » et de « scintillement » inhérents à ces supports, mais il ramène également ces enregistrements à leur vitesse d’origine. Brian Losch, ingénieur de restauration chez Long Tail Audio LLC et spécialiste de Capstan, révèle : « Après que Capstan ait ralenti l’enregistrement pour retrouver les 440 Hz d’origine, le Lohengrin durait plusieurs minutes de plus ... »

La plupart des rééditions d’enregistrements historiques sont soit trop lentes soit trop rapides à cause de machines mal entretenues ou de bandes détériorées. Un important effet secondaire de ces tempos musicalement erronés est un décalage des formants de l’orchestre et des voix, qui produit des résultats criards ou troubles. Jusqu'à présent, ce problème ne pouvait être résolu que par de complexes filtrages de correction, introduisant à leur tour des effets indésirables comme le déphasage.

Capstan de Celemony Software élimine ce problème en aplanissant toutes les dérives de vitesse, qu’elles soient constantes ou qu’elles varient dans le temps, et en réaccordant l’enregistrement sur le diapason d’origine. En conséquence, on entend non seulement l’interprétation musicale légitime d’origine mais aussi tous les formants acoustiques à leur place. Écoutez les grandes voix comme elles ont vraiment sonné et profitez des couleurs orchestrales dans toute leur splendeur !

www.longtailaudio.com
Le coffret de 25 CD à la boutique du Metropolitan Opera

Audio Mechanics a célébré son 20e anniversaire en septembre 2011. La réputation de la société pour son respect de l’esthétique et son extrême compétence technique en a fait l’un des studios de re-mastering de bandes originales de film les plus recherchés des États-Unis. Ses spécialités comprennent les services de restauration sonore, mixage et re-mastering, évaluation/catalogage et préservation des actifs audio, ainsi que l’analyse audio légale.

Étant parmi les premiers utilisateurs de Capstan, Audio Mechanics a énormément utilisé le logiciel. « J’ai beaucoup utilisé Capstan – je dirais presque sur chaque restauration que j’ai fait récemment », dit l’ingénieur du son Ellis Burman. « Une fois que vous savez que le pleurage peut être éliminé, vous voulez le faire chaque fois que c’est possible. »

Audio Mechanics a été choisi pour superviser la préservation numérique de tout le catalogue de bandes originales des films de la 20th Century Fox. Les derniers projets comprennent un classique 20th Century Fox de 1988, Big, avec Tom Hanks, et Les Aventures de Jack Burton dans les griffes du Mandarin de John Carpenter, ainsi que Seven wonders to the world de Disney, qui était à l’origine une projection sur 360° du parc d’attractions Epcot Center.

Avant la sortie de Capstan, Audio Mechanics utilisait les techniques existantes de suivi de polarisation des bandes et avait même élaboré ses propres algorithmes logiciels. Pleinement conscient qu’une bonne suppression du pleurage commence par le meilleur transfert de bande possible, c’est la facilité et la vitesse qui rendent Capstan si attrayant pour le processus de restauration. « Ce qui prenait des heures, voire des jours, nous pouvons désormais souvent l’obtenir en quelques minutes », dit le propriétaire de studio et ingénieur du son John Polito.

www.audiomechanics.com

Dans l’histoire de la musique enregistrée au cours du 20e siècle, rares sont les maisons de disques qui, comme Everest Records, ont eu une telle influence et ont développé des techniques faisant référence, en une période relativement brève.

Le microphone et la technique d’enregistrement à 3 canaux présentés par Everest, dont beaucoup de résultats ont été conservés sur pellicule de 35 mm à piste magnétique, étaient révolutionnaires pour l'époque. En plus de ses progrès techniques, Everest a été le lieu de nombreuses premières en matière d’enregistrement.

Depuis avril 2013, cette collection de près de 75 enregistrements est petit à petit rééditée numériquement par Countdown Media GmbH (Hambourg, Allemagne) via le service iTunes de haute qualité « Masterisé pour iTunes ». Chaque enregistrement a été soigneusement transféré, restauré et remasterisé à partir des bandes master d’origine et est fourni avec un livret numérique comprenant la pochette d’origine avec ses notes, les informations techniques et la liste des interprètes et intervenants dans la production. Bon nombre de ces enregistrements n'étaient plus disponibles depuis leur première édition il y a 50 ans.

Comme l’explique Lutz Rippe, l’ingénieur de restauration et de mastering de Countdown Media : « Un problème pendant la numérisation a été le « syndrome du vinaigre », qui a conduit à la déformation et au rétrécissement général de ces bandes. De ce fait nous n’entendons pas seulement des effets de « pleurage » et de « scintillement » mais aussi une vitesse de lecture en général plus élevée que la normale. En outre, en raison de la distance réduite entre les pignons, il arrivait à notre machine de lecture Albrecht M51 de sauter un pignon avec pour résultat une chute soudaine de hauteur. »

Il existe sur le marché des têtes spéciales pour ces machines, qui scannent au laser les pignons durant la lecture et corrigent directement la vitesse. « Mais elles sont onéreuses », dit Rippe, « c’est pourquoi nous avons choisi Capstan de Celemony Software pour les corrections de vitesse et nous avons fait de très bonnes expériences. »

www.evereststereo.com